Que reste t’il aux franchisés?
Le concept des franchises n’est plus un secret pour nous. À ce jour, ce sont plus de 430 franchisés répartis sous 5 bannières nationales canadiennes qui ont transformé leur vision du management grâce à Happy Culture.
Sans devoir complètement révolutionner une industrie, une personne travaillante et organisée peut s’approprier rapidement une recette précise, lui permettant l’exploitation de son propre commerce, en plus d’un réseau de support solide pour réussir à chaque étape de la mise en marché.
Sur papier, tout semble simple. Dans la réalité, réduire le concept de franchise à ces quelques lignes, c’est amoindrir le potentiel, la complexité et la force de la dynamique franchiseur-franchisés. Que reste t’il réellement aux franchisés?
Le réflexe #1 du franchisé
Être franchisé, comme toute aventure entrepreneuriale, apporte son lot de défis. En cas de pépin, le réflexe #1 du franchisé, c’est de se tourner vers la maison-mère qui se doit d’offrir une lumière éclairée sur plusieurs enjeux. La maison-mère a généralement un plan d’action clair, des astuces et un lot incroyable d’expériences à partager pour toutes situations problématiques. En revanche, elle ne contrôle pas l’humain. Et, pénurie de main-d’œuvre oblige, l’humain est aujourd’hui au centre des préoccupations organisationnelles. Il y a un angle mort important.
La seule chose que le franchisé contrôle, ce sont les humains.
De son côté, un franchisé ne contrôle ni ses prix de vente, ni ses fournisseurs, ni le produit qu’il vend, ni ses marges, ni le « lay-out » de son point de service. La seule chose qu’il contrôle, ce sont les humains – ceux qui y travaillent et ceux qui gèrent les équipes. Et, encore une fois, pénurie de main-d’œuvre oblige, l’humain est une ressource capitale à l’épanouissement de son entreprise.
Paradoxal, non?
En tant qu’expert pour l’industrie de la franchise, c’est un refrain perpétuel que l’on entend :
« Notre franchisée de St-Etienne n’a besoin d’aucune aide pour son recrutement, elle n’a aucun « turnover ». C’est fou! Mais c’est impossible de la répliquer partout. »
Ou, alors :
« Nous offrons exactement le même processus d’intégration pour tous les nouveaux employés à travers nos points de service, mais il n’y a aucune constance dans la fidélisation ou dans la productivité des employés. »
Chiffrer l’humain.
Les directeurs aux opérations des plus grandes enseignes en témoignent. En quelques rapports, en évaluant les commandes aux fournisseurs et le volume de ventes… Ils arrivent à établir la qualité d’exécution du plan d’affaires par le franchisé et à prédire avec justesse la rentabilité (ou les pertes financières) d’un point de service.
Elle est là, l’opportunité d’une culture d’entreprise forte et mesurable dans le milieu de la franchise.
Les franchiseurs ont l’habitude d’offrir une vision 360, juste et métrique. Les franchisés ont ce désir de standardisation et s’attendent à un plan d’action afin d’affronter les creux de vagues. C’est un équilibre qui fonctionne dans tous les segments de l’entreprise.
En ce moment, la pénurie de main-d’œuvre et l’absence de fidélité du nouveau bassin d’employés constituent un défi de taille. Parce qu’on pense que c’est impossible de chiffrer l’humain, il y a une faille dans le rapport de force habituel.
Mesurer avec précision l’impact de chaque action.
Lorsque la culture d’entreprise fait partie d’une stratégie d’affaire établie, il est possible de mesurer avec précision l’impact de chaque action visant à mobiliser et garder ses travailleurs. Perdre un être humain en 2023, ça coûte une fortune. La capacité de chaque point de service à retenir sa main-d’œuvre peut être décuplée par un processus concret et des outils de mesure qui parlent directement au portefeuille du franchiseur et des franchisés.
Ce qui fera une différence entre une franchise lucrative et celles qui fermeront leurs portes.
Ce qui doit rester entre les mains des franchiseurs, c’est établir un standard.
« Travaillez pour notre franchise, c’est une garantie de management de qualité X, et rien de moins. »
Ce qu’il reste d’unique à chaque franchisé, c’est l’exécution de ce plan de management et son application au quotidien, d’humains à humains. Et, en 2023, c’est ce qui fera la différence entre les franchises lucratives et celles qui fermeront leurs portes.
« La culture d’entreprise veut dire bien des choses, mais il est facile de se perdre avec tout ça. Happy Culture a su vulgariser la théorie pour rendre ça concret pour nos managers ainsi que nos franchisés et générer l’adhésion au projet.
La simplicité de l’approche permet aux gens de bien voir la valeur ajoutée plutôt que de voir ça comme un ajout à leurs tâches. Merci Happy Culture de nous inspirer à devenir des « game changer » et se reconnecter avec notre monde ! »
-Louis-Philippe Laroche, RCC, Directeur de la formation et des ressources humaines franchisés
Envie d’en apprendre davantage?
Depuis quatre ans, nous avons établi une corrélation claire entre l’investissement sur ses humains et le retour sur le capital financier. L’heure n’est pas à choisir entre les deux dossiers, il est à se challenger sur le comment peut-on arrimer notre main-d’oeuvre si chèrement acquise avec les objectifs de performance d’une entreprise.
Vous êtes un franchisé ou un franchiseur et vous voulez établir un standard de management afin de fidéliser vos employés?
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